IL ETAIT UNE FOIS LA NEUVIEME BeethovenSonate op 102 n° 2:(Allegro con brio) Sonate op 5 n° 2 (Allegro molto piu tosto presto). Marche Funèbre extrait de la Symphonie « Eroic » Sonate « Clair de Lune » (Adagio sostenuto) Sonate op 69 n° 3 (adagio cantabile et Allegro vivace) Sonate op 102 n°1 (Andante et Allegro vivace) Sonate op 102 n°2 (Adagio con molto sentimento d’affetto) Symphonie n° 9: Hymne à la joie et coda
A lire
« Chez la plupart des artistes, le ou les chefs-d’œuvre arrivent sans prévenir, à un moment ou un autre de leurs vies, par surprise, quand on ne les attend pas, ou plus. Rimbaud, tout jeune, avant le silence. Le Guépard pour Lampedusa, passé la soixantaine sans avoir rien écrit avant. Le Boléro, ovni chez Ravel... Pour d’autres, beaucoup plus rares, l’existence semble une lente montée, une élévation. Tout se passe comme si chaque œuvre préparait la suivante et que chacune avançait, jusqu’à parvenir à l’indépassable, l’ultime chant, celui du cygne, le plus beau en même temps que le plus complet.
Avec son Requiem, Mozart illustre peut-être ce bouleversant mouvement vers le haut. Mais c’est Beethoven et sa Neuvième symphonie qui l’incarnent. Voici donc l’histoire de la Neuvième, la plus célèbre de toutes les symphonies. Voici l’histoire d’un génie, le plus fort et le plus fragile, le plus humain de tous les hommes. Et voici l’histoire d’un rêve d’Europe, le plus nécessaire de tous les rêves» Erik Orsenna.
Erik Orsenna, Michel Dalberto et Henri Demarquette visitent l’œuvre et l’histoire du génie Beethoven, le plus fort et le plus fragile, le plus humain des hommes, dont l’Ode à la joie, final de la Neuvième symphonie, est devenue l’hymne de l’Europe…