Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Les Ambassadeurs~La Grande Ecurie

    Alexis Kossenko | flûte et direction 

    Une soirée de fête vivaldienne grâce à la flûte d’Alexis Kossenko.

    photo de Alexis Kossenko © Caroline Doutre
    Alexis Kossenko © Caroline Doutre

    Vivaldi  Concerto RV 576 « Per la sua altezza reale di Sassonia » pour violon principal, deux flûtes à bec, trois hautbois, basson, contrebasson et orchestre
    Concerto RV 585 « In due cori » pour quatre violons solos, quatre flûtes à bec, deux orgues, deux orchestres
    Concerto RV 571 pour violon principal, deux cors, deux hautbois, violoncelle, basson et orchestre
    Concerto RV 556 pour deux violons solos, deux flûtes à bec, deux hautbois, deux clarinettes, basson et orchestre
    Concerto RV 566 « Per l’orchestra di Dresda » pour deux violons solos, deux flûtes à bec, deux hautbois, basson et orchestre
    Concerto RV 555 pour trois violons solos, deux flûtes à bec, deux trompettes, deux chalumeaux, deux violoncelles, deux clavecins et orchestre

    S’il n’a pas inventé la forme concerto (que l’on attribue à Torelli et Albinoni), Vivaldi en a fixé le style et la plupart des critères de composition, restés quasiment invariables jusqu’à la révolution beethovénienne. Sur près de 500 numéros que compte le répertoire concertant de Vivaldi, la plupart sont destinés au violon ou à des formations principalement composées de violons. Ce sont pour la plupart des pages séduisantes aux formules harmoniques savoureuses et de grande qualité lyrique, l’autre versant où le Prêtre Roux fut un maître en son temps. Alexis Kossenko connaît parfaitement ce catalogue gigantesque, lui qui n’a pas hésité à plonger au cœur de manuscrits, en particulier ceux conservés à Dresde, ville qui possédait à l’époque de Vivaldi l’un des meilleurs ensembles d’Europe en particulier pour la diversité des instruments.