Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Quatuor Belcea 

    Les lumineux Belcea dans Brahms et Britten.

    Quatuor Belcea
    Quatuor Belcea © Marco Borggreve

    Britten Quatuor à cordes n° 1 op. 25
    Brahms Quatuor à cordes n° 1 op. 51 n° 1 

    « La vieille dame vient juste de m’acheter un quatuor à cordes pour une somme qui va me mettre à l’abri du besoin pour un petit moment », se réjouit Benjamin Britten en juillet 1941. Il vient en effet de recevoir 400 dollars d’Elizabeth Sprague Coolidge – entre autres commanditaire du Cinquième de Bartók ou du Quatrième de Schoenberg, excusez du peu – pour accoucher de son Opus 25. Un galop d’essai dans le genre ? Pas vraiment. Mais officiellement son Premier, qu’il tient pour sa « meilleure pièce jusqu’à présent ». Même exigence pour Brahms qui, après bien des péchés de jeunesse lui aussi, s’autorise (enfin !) à numéroter une œuvre pour les seize cordes en 1873. Les Belcea sauront lui donner un ton violemment inquiet, comme dans l’enregistrement sous pavillon Alpha qui leur valait un Diapason d’or de l’année en 2016.

    COREALISATION Jeanine Roze Production / Théâtre des Champs-Elysées