Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Orchestre de chambre de Paris

    Antje Weithaas | violon et direction

    La violoniste et chef Antje Weithaas chez Haydn, Hartmann et Brahms : du tragique à la félicité.

    Antje Weithaas
    Antje Weithaas © Kaupo Kikkas

    Haydn  Symphonie n° 44 Funèbre
    Hartmann  Concerto funèbre pour violon et orchestre
    Brahms  Sérénade op. 11

    La musique n’a pas besoin de mots pour sourire ou pleurer. Haydn le savait, puisqu’il souhaitait que l’on joue l’Adagio de sa Symphonie n° 44 à ses obsèques. Vœu non exaucé, mais le mouvement sera toutefois donné quelques mois plus tard, lors d’une cérémonie d’hommage. Quant à Hartmann, il envisageait au départ son Concerto funèbre, pour violon et orchestre à cordes, donné ici en hommage à Lars Vogt, comme un requiem. En réaction à l’annexion de la Tchécoslovaquie par le Troisième Reich, il l’achève au moment où l’armée allemande envahit la Pologne. En 1959, il le révise, preuve de son attachement à cette œuvre « grave et désespérée ». C’est en revanche avec un sentiment de félicité que Brahms compose sa première Sérénade (1858), même si le mouvement lent se voile par moments de nostalgie. 

    Production Orchestre de chambre de Paris