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    Orchestre de chambre de Paris

    Ton Koopman | direction

    Ton Koopman invité de l’Orchestre de chambre de Paris pour un programme Bach père & fils et Haendel.

    Ton Koopman
    Ton Koopman © Foppe Schut

    Bach  Ouverture de la Suite n° 4 BWV 1069
    Concerto brandebourgeois n° 1 BWV 1046
    C. P. E. Bach  Symphonie n° 4 H666
    Haendel  Musique pour les feux d’artifice royaux HWV 351 

    Avec Jean-Sébastien Bach et Georg Friedrich Haendel, l’orchestre baroque déploie sa riche palette de couleurs. Daté de 1721, le Concerto brandebourgeois n° 4 (ainsi titré en raison de sa dédicace au margrave de Brandebourg) fait la part belle aux cors, tandis que l’Ouverture n° 1, riche de trois trompettes, trois hautbois et d’une paire de timbales, s’inspire du faste versaillais. C’est aussi vers la France et ses danses que regarde Haendel en 1717, lorsqu’il compose son célèbre Musique pour les feux d'artifice royaux à la demande du roi George II : le 27 avril 1749, un spactacle grandiose est offert aux londoniens pour fêter la signature du traité d'Aix-la-Chapelle. Mais dans les trois premiers mouvements du Brandebourgeois n° 1, on perçoit aussi le modèle italien qu’assimilera Carl Philipp Emanuel, le deuxième fils de Jean-Sébastien. En témoigne sa Symphonie n° 4 de 1776, qui se tourne déjà vers le style classique de la fin du siècle. 

    Production Orchestre de chambre de Paris