Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Un Elixir d‘amour, d’après Donizetti

    mise en scène de Manuel Renga

    L’adaptation pour le jeune public par Manuel Renga

    Pour cette adaptation destinée au jeune public, l’histoire est transposée dans les années 1930 au sein d’une usine fabriquant un sirop contre la toux nommé « Elixir ». Le sirop est si mauvais que les enfants le détestent ! Une équipe d’ouvriers de nuit décide de prendre en main la situation désastreuse de l’usine. Ils décident en secret de changer la recette du sirop en y ajoutant quelques ingrédients « spéciaux ».

    Ici chacun travaille. Nemorino est ouvrier, Adina, la fille du propriétaire, est chargée de vendre le sirop. Belcore est soldat et explorateur professionnel et propose à Nemorino de s’engager dans l’armée pour gagner un peu d’argent. Quant à Dulcamara, il fait profession de sa propre fourberie en vendant de faux espoirs, de fausses promesses qui finalement ne sembleront pas si « fausses »… Le public prend part au spectacle en représentant l’équipe d’ouvriers de nuit qui transforme la recette du sirop « Elixir ».

    La scénographie

    L’ambiance s’inspire du film Les Temps Modernes de Charlie Chaplin, mais aussi de l’atmosphère magique de Charlie et la Chocolaterie de Mel Stuart : d’énormes engrenages, des alambics fumants et un tapis roulant pour les bouteilles d’élixir, sans oublier un vieux téléphone qui apporte les nouvelles de l’extérieur.

    Les thèmes abordés

    L’homme candide, particulièrement dépassé par sa vie, mais qui finalement triomphe.

    L’Elixir pousse Nemorino à se libérer de ses inhibitions et de ses peurs, à reconnaître ses vrais désirs et savoir ce que l’on fera « quand on sera grand ».

    L’opposition entre le doux et l’amer… La vie nous apparaît souvent amère. La douceur et la gentillesse sont souvent un antidote efficace contre les méchancetés, les injustices…

    Le travail. La vie à l’usine est découpée entre des moments de « pause » et de « travail ». Il faut agir pour changer ce monde, l’implication de tous est nécessaire, y compris celle des enfants qui participent au spectacle.

    La lecture, l’imagination, la créativité. Les livres comme source d’histoires, d’intérêts, de culture.

    Dans la presse

    Réduite par rapport à l’originale, cette version chantée en français, sans grand orchestre, ni chœur, vive et colorée, délicatement transposée dans les années trente, est une vraie réussite. (…) Saisis en quelques traits comme dans un bande-dessinée pour mieux définir leurs travers et leurs aspirations, les personnages sont astucieusement intégrés à ce ballet frénétique réglé par le metteur en scène Manuel Renga.

    (…) un savoureux Elixir d’amour (…) La durée de l’opéra passe d’environ deux heures à une heure quinze tout en conservant les grands équilibres. Certes, l’on perçoit quelques raccourcis, mais la cohérence d’ensemble est maintenue et la rythmique de Donizetti s’en retrouve même condensée.

    Délectable ! (…) Le livret a été adapté et traduit en français dans un vocabulaire choisi, raffiné. (…) Manuel Renga signe une mise en scène agile et fine, jamais à court d’idées

    Délicieux (…) Et l’adaptation du livret par le Français Henri Tresbel est très bien faite, distillant aux chères têtes blondes et brunes toute la saveur de l’histoire et des airs originaux

    Documentation disponible

    (c) photos : Vincent Pontet

    Images du spectacle

    Ouverture
    Premier air d’Adina
    Arrivée de Belcore
    Arrivée de Dulcamara
    Arrivée de Dulcamara
    Nemorino, après avoir consommé l’elixir d’amour
    2e partie. Arrivée de Belcore sur le tapis roulant.
    Trio Adina – Nemorino – Belcore
    Photo d'Un Elixir d'amour © Alessia Santambrogio
    Un Elixir d'amour © Alessia Santambrogio
    La rumeur sur la fortune de Nemorino se répand
    La rumeur sur la fortune de Nemorino se répand
    Air de Nemorino – « Una furtiva lagrima«
    Air de Nemorino – « Una furtiva lagrima«
    Finale

    Fiche technique

    Date de la création
    Equipe artistique
    Soliste, choeur, figuration

    Le 1er février 2021 au Théâtre des Champs-Elysées

    PRODUCTION Aslico, en coproduction avec le Théâtre des Champs-Elysées et l’Opéra de Rouen Normandie

    • Manuel Renga, mise en scène
    • Aurelio Colombo, scénographie, costumes
    • Henri Tresbel, traduction et adaptation du livret

    Solistes:

    Adina, soprano
    Nemorino, ténor
    Belcore, baryton
    Dulcamara, baryton-basseOuvrière de l’usine / Invitée au mariage, soprano
    Ouvrière de l’usine / Invitée au mariage, mezzo-soprano

    Figuration

    2 hommes, 1 femme