Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Orchestre de chambre de Paris

    Lars Vogt  direction et piano 

    Lars Vogt au cœur de tourmentes romantiques avec Mendelssohn et Brahms.

    Lars Vogt
    Lars Vogt © Giorgia Bertazzi

    Mozart Symphonie n° 25 K. 183
    Mendelssohn Concerto pour piano n° 1 op. 25
    Brahms Symphonie n° 4 op. 98

    Durée du concert
    1ère partie : 50mn environ - Entracte : 20mn - 2e partie : 40mn environ

    C’est un programme tout en contrastes que propose ce concert en joué-dirigé par Lars Vogt
    – pianiste d’exception mais aussi directeur musical du Sage Gateshead. La soirée débute avec la fiévreuse « Petite symphonie en sol mineur » composée par un Mozart de dix-huit ans... mais déjà auteur de vingt-cinq symphonies. A l'atmosphère quelque peu tragique de cette symphonie succèderont les tourmentes romantiques de Mendelssohn et de Brahms – deux musiciens qui, en leur temps, furent eux aussi de célèbres interprètes directeurs d’orchestre... De quoi offrir à Lars Vogt la pleine mesure de son engagement et de sa débordante énergie, que le très britannique critique du Guardian décrivait ainsi : « C’est un interprète si communicatif, si hyperactif, que même lorsque ses mains sont occupées au clavier, il semble continuer à diriger l’orchestre avec les genoux. »

    Production Orchestre de chambre de Paris