Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Igor Levit | piano

    Igor Levit entre répertoire symphonique et ultimes confidences brahmsiennes.

    Igor Levit
    Igor Levit © Felix Broede

    Mahler  Adagio de la Symphonie n° 10 (arrangement pour piano de Ronald Stevenson)
    Brahms  Quatre Pièces pour piano op. 119
    Beethoven  Symphonie n° 3 op. 55 « Héroïque » (arrangement pour piano de Franz Liszt)

    La presse et le public fêtent chacune des apparitions du jeune pianiste germano-russe Igor Levit, qui fait désormais partie de l’élite internationale du clavier. Bien que très à l’aise dans son époque (il est extrêmement présent sur les réseaux sociaux et dans de nombreux engagements civiques), c’est un artiste qui préfère la profondeur à la précipitation. Si son cœur bat avant tout pour le répertoire allemand (il donne justement le deuxième concerto de Brahms avec les Wiener Philharmoniker en début de saison), pour Bach et le classicisme viennois de Beethoven qui ont fait sa réputation, il ne dédaigne pas s’aventurer sur quelques chemins plus rares, comme pour ce récital où il propose deux arrangements pour piano de deux tubes du répertoire symphoniques que sont l’Adagio de la symphonie n° 10 de Mahler et la troisième de Beethoven. Mais il ne saurait oublier ses fondamentaux et y retourne avec ces Klavierstücke de l’opus 119 de Brahms, ces « berceuses de ma souffrance » selon les mots du musicien et les ultimes propos qu’il confia au piano.

    Coréalisation Productions Internationales Albert Sarfati | Théâtre des Champs-Elysées