Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Quatuor Ebène
    Mathieu Herzog | alto
    Bruno Delepelaire | violoncelle 

    Le Quatuor Ebène en bonne compagnie pour Strauss et Schubert.

    Photo du Quatuor Ebène © Julien Mignot
    Quatuor Ebène © Julien Mignot
    Photo de Mathieu Herzog - Droits réservés
    Mathieu Herzog - Droits réservés
    Photo de Bruno Delepaire - Droits réservés
    Bruno Delepaire - Droits réservés

    Strauss  Sextuor pour deux violons, deux altos et deux violoncelles (Prélude de Capriccio)
    Schubert  Quintette à cordes à deux violoncelles op. posth. 163 D. 956 

    En plus des retrouvailles avec Mathieu Herzog, leur ex-altiste devenu chef, il faudra le renfort de Bruno Delepelaire, ancien complice de Marie Chilemme au sein du Quatuor Cavatine aujourd’hui membre de l’Orchestre Philharmonique de Berlin, pour permettre aux Ebène de faire vibrer les cordes sensibles de Strauss, dont le dernier opéra s’ouvre sur un sextuor tout imprégné de nostalgie. Puis place à l’immense Quintette en ut de Schubert qui, quoique mâtiné de touches au clair-obscur reconnaissable entre mille, ne semble pas envisager la fin toute proche de son auteur. Entre chant du cygne et célébration de la vie, une heure de musique au plus proche du sublime.    

    Coréalisation Jeanine Roze Production | Théâtre des Champs-Elysées