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    Un Requiem allemand  

    Ein deutsches Requiem
    Johannes Brahms 

    Brahms et son Requiem allemand, une page forte pour entamer la 50e saison des Concerts du Dimanche Matin.

    Photo de la Maîtrise Notre-Dame de Paris © Léonard de Serres
    Maîtrise Notre-Dame de Paris © Léonard de Serres

    Claire Désert | piano
    Tanguy de Williencourt | piano
    Chœur et solistes de la Maîtrise Notre-Dame de Paris
    Henri Chalet | direction  

    Les Mozart, Berlioz, Verdi, Fauré et consorts auront tous écrit leur messe des morts en latin, héritage de la sacro-sainte tradition grégorienne. Tous ? Presque. C’est dans sa langue maternelle que Brahms compose la sienne, sur des textes de la Bible de Luther. Si les premières idées lui viennent après la mort de Schumann, son mentor, il faut la disparition de sa mère, neuf ans plus tard, pour que le travail reprenne. Les larmes du deuil n’empêchent pas l’ode funèbre de délivrer des mots d’espoir : « Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés », commenceront par dire les voix de Notre-Dame soutenues par Claire Désert et Tanguy de Williencourt. Mieux que de ne s’adresser qu’à Dieu, Johannes réconforte les vivants. Un requiem à hauteur d’Homme.  

    Coréalisation Jeanine Roze Production | Théâtre des Champs-Elysées