Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Psaume 116

    Franz Schreker

    Un Requiem allemand

    Johannes Brahms 

    Une partition magistrale autant par sa dimension sacrée que par sa puissance orchestrale et chorale.

    Katharina Konradi, Matthias Goerne
    Katharina Konradi © Peter Hundert, Matthias Goerne - DR

    NFORMATION
    Afin de vous assurer un placement le plus adapté aux circonstances exceptionnelles que nous traversons, la réservation en ligne est momentanément suspendue pour ce concert. Nous nous tenons à votre disposition pour traiter vos demandes de places par téléphone au 01 49 52 50 50 et aux caisses du Théâtre.

    Katharina Konradi | soprano
    Matthias Goerne | baryton

    Thomas Hengelbrock | direction
    Balthasar-Neumann-Ensemble, Balthasar-Neumann-Chor 

    Brahms n’avait pas encore trente ans lorsqu’il entreprit la composition de son Requiem allemand. La genèse de l’œuvre s’étend de 1854 à 1868. Cette page magistrale, profondément originale, est sans réel précédent dans l’histoire de la musique allemande et n’a rien d’un requiem traditionnel. Il s’agit plus d’une musique funèbre mais pas d’une messe des morts. D’où l’importance du mot Un (Ein) qui illustre toute la subjectivité du propos brahmsien en jeu ici. Toujours à propos du titre, le compositeur écrivit que « en ce qui concerne le titre, j’avoue que j’enlèverais volontiers le mot allemand pour le remplacer tout simplement par Pour l’humanité ». C’est dire la portée du message. En ouverture de concert, Thomas Hengelbrock a intelligemment souhaité faire entendre le Psaume 116 de Schreker, une pièce pour chœur de femmes et orchestre créée en 1901 et dédiée à son maître Robert Fuchs, professeur de composition recherché et ami intime de Brahms. Un écho Brahmsien évident.

    PRODUCTION Théâtre des Champs-Elysées

    Vous aimerez aussi

    Der Messias

    G. F. Haendel, W. A. Mozart

    Le célèbre oratorio de Haendel revisité par Mozart et l’icône du théâtre expérimental, Robert Wilson. Une version rare à (re)découvrir sous la baguette de Marc Minkowski.

    Orchestre National de France

    Manfred Honeck

    Fidelio, Matthias Goerne, la Cinquième : tout Beethoven ou presque en un concert.

    Messe du Couronnement

    Wolfgang Amadeus Mozart

    La plus populaire des pages sacrées de Mozart et son célébrissime aria de l’Agnus Dei. Quand le spirituel se pare de sensualité.