Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Orphée et Eurydice  

    Orfeo ed Euridice
    Christoph Willibald Gluck

    Toute la force et la douleur du chant amoureux incarnées par l’Orfeo de Jakub Józef Orliński et l’Eurydice de Regula Mühlemann. 

    Orphée et Eurydice
    Orphée et Eurydice © Vincent Pontet
    Orphée et Eurydice
    Orphée et Eurydice © Vincent Pontet
    Orphée et Eurydice
    Orphée et Eurydice © Vincent Pontet
    Orphée et Eurydice
    Orphée et Eurydice © Vincent Pontet

    Thomas Hengelbrock | direction
    Robert Carsen | mise en scène
    Christophe Gayral | reprise de la mise en scène
    Tobias Hoheisel | scénographie et costumes
    Robert Carsen, Peter Van Praet | lumières
    Matthieu Pouly | reprise des lumières

    Jakub Józef Orliński | Orfeo
    Regula Mühlemann | Euridice
    Elena Galitskaya | Amore

    Orchestre Balthasar Neumann
    Chœur Balthasar Neumann

    Opéra chanté en italien, surtitré en français et en anglais

    Lorsqu’il reprend plus d’un siècle et demi après Monteverdi le sujet de la fable de l’Orfeo, Gluck s’engage en même temps dans un renouveau des codes de l’opéra jusqu’alors en vigueur. Il privilégie l’action dramatique, sa force, sa cohérence et sa richesse, qui à ses yeux se doivent d’être en parfaite harmonie avec l’écriture musicale. De cette réflexion surgit un ouvrage novateur qui, par l’incroyable richesse des chœurs notamment, rayonne d’une beauté lumineuse tout en « réformant » les codes du passé. Le canadien Robert Carsen a mis en scène l’œuvre avec un dispositif hors de toutes références temporelles et donne une place centrale à la musique et au chant. Si le sujet est issu de l’un des plus beaux mythes, l’intrigue se resserre sur le couple formé par Orfeo et Euridice au travers de leurs airs qui requièrent une sensibilité et une virtuosité sans faille.

    Après plusieurs récitals ici-même où il a triomphé, le contre-ténor Jakub Józef Orliński fait ses premiers pas parisiens à l’opéra face à la jeune Regula Mühlemann aux vocalises ciselées comme un diamant. Un duo de jeunesse et d’insolence musicale qui devrait briller de mille feux sous la baguette experte de Thomas Hengelbrock au pupitre de ses Orchetstre et Choeur Bathalsar Neumann. Les deux amants feront l’impressionnante expérience de la douloureuse descente aux Enfers que même l’amour, ici incarné par Elena Galitskaya, la mutine Pauline de la récente Vie parisienne, ne pourra sauver. Toute la palette du chant amoureux condensée dans l’une des pages les plus bouleversantes de Gluck.

    Coproduction Théâtre des Champs-Elysées | Canadian Opera Company | Fondazione Teatro dell’Opera di Roma | Château de Versailles Spectacles | Lyric Opera of Chicago
    En partenariat avec France TV

    Avec le soutien d'Aline Foriel-Destezet, mécène principale des opéras mis en scène au Théâtre des Champs-Elysées

     

    Vous aimerez aussi

    Iphigénie en Aulide

    Christoph Willibald Gluck

    Iphigénie en Aulide est l’une des plus lumineuses pages de Gluck, dernier représentant du Grand siècle français. 

    Thésée

    Jean-Baptiste Lully

    L’art de la tragédie lyrique à la française où la musique de Lully semble être le double naturel des vers de Quinault.

    Tolomeo

    Georg Friedrich Haendel

    Un ouvrage méconnu de Haendel pourtant appartenant à sa grande période londonienne et porté par Il Pomo d’Oro et Jakub Józef Orliński.