Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Elias

    Felix Mendelssohn 

    En glorifiant magistralement le destin du prophète Elie, Mendelssohn s’inscrit avec brio dans la tradition du genre oratorio.

    Masaaki Suzuki
    Masaaki Suzuki © Marco Borggreve

    Carolyn Sampson soprano (La Veuve / Un Ange)
    Anna Stephany
    mezzo-soprano (La Reine / Un Ange)
    Robert Murray
     ténor (Abdias / Achab)
    Roderick Williams baryton (Elias) 
    Emma Walshe soprano (L'Enfant)

    Masaaki Suzuki direction
    Orchestra and Choir of the Age of Enlightenment 

    Concert chanté en anglais, surtitré en français

    Durée du concert
    1ère partie : 1h05 environ - Entracte : 20mn - 2e partie : 1h05 environ

    En 1846, au moment où il compose Elias, Mendelssohn compte parmi les figures les plus en vue de l’Europe musicale. Il est non seulement un exceptionnel pianiste, organiste et chef d’orchestre mais aussi un dynamique directeur de troupe et créateur d’institutions comme le Conservatoire de Leipzig. Il est aussi celui qui dix ans plus tôt a initié la redécouverte de l’œuvre de Bach (il donne la première « moderne » de la Saint Matthieu à Berlin en 1836). Sans doute doit-il justement à Bach son goût et sa science de l’oratorio où il exprime une sensibilité de vrai romantique alliée à un sens de la mesure classique. Elias est de cette trempe. Somptueuse fresque chorale proche de l’opéra, elle constitue un exemple majeur de l’oratorio du XIXe siècle. Masaaki Suzuki, dont l’interprétation de Bach est saluée par tous, s’inscrit tout naturellement dans cette filiation.

    Production Théâtre des Champs-Elysées