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    Calendrier

    Evgeny Kissin | piano
    Gidon Kremer | violon
    Maxim Rysanov | alto
    Gautier Capuçon | violoncelle 

    Le piano d’Evgeny Kissin entouré de Gidon Kremer, Maxim Rysanov et Gautier Capuçon pour célébrer Chostakovitch.

    Photo de Evgeny Kissin © Mascia Sergievskaia, Gidon Kremer © Angie Kremer
    Evgeny Kissin © Mascia Sergievskaia, Gidon Kremer © Angie Kremer
    Photo de Gautier Capucon © Felix_Broede, Maxim Rysonov © Lazlo Emmer
    Gautier Capucon © Felix_Broede, Maxim Rysonov © Lazlo Emmer

    Chostakovitch  Sonate pour violoncelle et piano op. 40
    Sonate pour violon et piano op. 134
    Sonate pour alto et piano op. 147 

    Pour célébrer le 50e anniversaire de la disparition de Chostakovitch, trois solistes dont la réputation n’est plus à faire, se retrouvent autour du piano d’Evgeny Kissin. Si le compositeur russe a pratiqué le piano toute sa vie, il a peu écrit pour l’instrument, et à la différence de ses catalogues symphoniques et pour le quatuor à cordes très fournis, l’exercice de la sonate à deux instruments ne comporte que quelques opus. Peu présentes au concert, elles requièrent toutes des interprètes d’exception. L’opus 40 pour violoncelle et piano date de 1934 et est la première œuvre d’importance composée par un jeune Chostakovitch alors âgé de 28 ans et encore bercé du souvenir de Tchaïkovski et Rachmaninov. Les deux pièces suivantes au programme de ce soir datent elles des dernières années du compositeur. L’opus 134 pour violon et piano (1968) est dédié à son ami le violoniste David Oïstrakh et développe un climax tout en noirceur, reflet, comme l’ont souligné de nombreux commentateurs, des multiples séjours hospitaliers du compositeur à l’époque. Enfin l’opus 147 pour alto et piano fut écrit en juillet 1975, précédant de quelques jours la disparition du musicien le mois suivant. C’est une page mélancolique, crépusculaire, comprenant de nombreux emprunts autobiographiques à des pages précédentes mais aussi à Berg, Beethoven et de nouveau Tchaïkovski et Rachmaninov. C’est littéralement un pur chef-d’œuvre de fin de vie, lorsque ne demeure que l’essentiel.

    Production Productions Internationales Albert Sarfati