Un somptueux et cruel manuel du savoir-aimer baigné de toute la sensualité mozartienne servie par Marc Minkowski.
Comment Haendel s’empara de la forme opéra pour exprimer la passion du Christ.
Le mythe mozartien dont on ne se lasse pas, servi ici par un quatuor au sommet.
L’une des grandes pages du répertoire italien romantique portée par les forces de l’Opéra de Lyon, Daniele Rustioni et un trio de choc.
Sommet du répertoire religieux, la Passion selon Saint Jean est un monument d’émotions, servi ici par Leonardo García-Alarcón et la chorégraphe Sasha Waltz.
Un Rossini tardif baigné de légèreté comique, mais faisant la part belle à l’élégance de l’esprit français. Le rôle parfait pour Cyrille Dubois.
La Saint Matthieu, ou l’acmé de l’art choral de Bach dirigée par Hans-Christoph Rademann.
La reprise de l’opéra de Poulenc qui a triomphé grâce à ses interprètes et à la lecture visionnaire d’Olivier Py avec au pupitre l’américaine Karina Canellakis.
Magnifique trio féminin pour cet extraordinaire portrait de femme amoureuse, l’un des plus beaux rôles du catalogue haendélien.
Le statut de « tube » du répertoire sacré pour cette page de Haendel baignée de prophétie et méditation.
L’ultime œuvre de Monteverdi, génial inventeur de la forme moderne de l’opéra, dans toute sa plénitude théâtralisée.
Une fête de Noël à l’initiative de Jean-Christophe Spinosi, plaisir assuré.
L’autre « tube » du répertoire sacré et des pièces méconnues en parfaite résonance.
Don Giovanni, ou le génial anti-héros immortalisé par Mozart et Da Ponte et où Florian Sempey devrait faire merveille.
L’une des dernières pages de Haendel servie par une équipe de haut vol avec notamment Pretty Yende, Ben Bliss et Emmanuelle Haïm.
Le rare Persée de Lully a tout de l’opéra monumental. Une fine équipe a été réunie par Hervé Niquet pour faire résonner ce bel endormi.
Un sommet de l’opéra français porté par le couple Benjamin Bernheim – Marina Viotti.
Le premier opus de la trilogie Mozart-Da Ponte réunit tout ce qui fait de l’ouvrage un joyau lyrique encore et toujours d’actualité.
Une page grandiose de Brahms servie par les forces musicales de Radio France sous la baguette de Daniele Gatti.
Une page monumentale par sa forme et sa durée, la Saint Matthieu est un sommet de l’œuvre chorale du Cantor de Leipzig.
Un couple au sommet, Joyce DiDonato et Michael Spyres, pour une Jephtha crépusculaire de Haendel.
Un ouvrage fondateur du romantisme allemand où surnaturel et magie mènent la danse.
La vision de Krzystof Warlikowski pour Le Chevalier à la rose, œuvre phare de Richard Strauss et du répertoire lyrique du début du XXe siècle.
Un rare oratorio biblique en anglais de Haendel qui nous offre l’occasion de retrouver Ton Koopman et Jakub Józef Orliński.
Page de jeunesse, Mithridate contient déjà en germe l’œuvre de la maturité du musicien tant sur le plan musical que pour celui du théâtre.
Toute la tendresse et la drôlerie de l’opéra de Donizetti dans une version adaptée pour le jeune public.
Une immense page seria de Rossini servie par une non moins immense interprète dans son rôle-titre, Karine Deshayes.
Cette aventure dans l’Orient exotique est un divertissement servi avec humour et virtuosité par la musique du jeune Rossini et la baguette virtuose de Julien Chauvin.